Le dromadaire, par sa marche chaloupée, a une fâcheuse tendance à faire glisser son bât lorsque celui-ci a mal été arrimé, d'où, de temps à autres, des pertes de matériel. On ne s'en aperçoit malheureusement que bien trop tard, surtout lorsqu'il s'agit de l'animal de queue de caravane.. et il serait vain de vouloir faire demi-tour car qui sait combien d'heures de marches seraient nécessaires pour récupérer un simple matelas ... Tant pis pour celui qui dormira à même le sable le soir au bivouac.. après tout ce n'est pas si inconfortable !